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Epoque contemporaine (Gendai)
Le bouddhisme japonais (2/2) : Trouver sa place dans la société (XII-XXe siècles)
A la fin de l'époque Kamakura (XII-XIVe siècle), le bouddhisme japonais était passé par des transformations qui l'avait divisé en écoles et en courants de pensée aux objectifs et aux pratiques très différentes les unes des autres. Le bouddhisme du peuple n'était pas celui des guerriers ou des nobles. Dans le contexte du premier bakufu (gouvernement des guerriers), cette diversité pouvait être porteuse de périls. Le shogunat persécuta notamment les adeptes de Nichiren. Le bouddhisme allait devoir s'organiser pour survivre au régime des guerriers et à ses siècles chaotiques. -
Antiquité (Kôdai)
Le bouddhisme japonais (1/2) : La diversité des écoles japonaises (VI-XIIe siècles)
Le bouddhisme japonais est très évocateur pour le public occidental mais peut se résumer au zen, passé dans le langage courant comme un état émotionnel. Le bouddhisme japonais est cependant très complexe avec un grand nombre de courants, de temples ou d’ordres, le vocabulaire lui-même n’est pas toujours clair. Chacun de ces courants correspond à des époques, des contextes mais aussi des mentalités religieuses et des modes de vie différents qui continuent à avoir une influence au Japon. Essayons d'en identifier les principaux courants et écoles. -
Antiquité (Kôdai)
Les réincarnations du prince Shôtoku
Le prince régent Shôtoku est l’une des figures dominantes de l’histoire japonaise, considéré comme le propagateur du bouddhisme et le premier homme d’Etat du pays, on lui devrait des écrits bouddhistes de grande portée mais aussi la première constitution écrite. Sous un aspect ou un autre, il a été un personnage central sans cesse réinterprété. Les débats autour de sa personne entre historiens sont encore aujourd'hui passionnés.
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